C’est en 2014 qu’Éric Forestier, propriétaire d’une exploitation de maraîchage (concombre, aubergine, courgette, épinard, butternut, radis) sur 2 ha plein champs et 6000 m2 de serres a rencontré l’entreprise BIO3G, et testé pour la première fois leurs solutions. Si au départ, il reconnaît qu’il est difficile de changer ses habitudes, le commercial de l’époque l’a convaincu de tester avec un comparatif.
Sur cette première année, une importante différence sur l’enracinement des légumes est observée. Éric souligne que ses sols, au bout de 2-3 ans, ont clairement retrouvé une vie bien plus active avec le retour en conséquence des vers de terre. Ces derniers n’étaient pas autant présents durant les années précédentes sur ses cultures maraîchères.
L’agriculteur met aussi en avant que ses terres sont beaucoup moins compactées, cela draine mieux. Le sol étant plus aéré, l’eau ne stagne plus car sa terre est bien plus perméable. Il observe cela factuellement sur ses cultures (blé, maïs ou tournesol) post maraîchage en plein champ.
ORGA+TONIC® est utilisé à raison de 1,5 à 2 t/ha (un apport au printemps et un autre fin d’année) en guise d’apport fertilisant (6-2-10 + 8 S). CALCI TONIC PERLÉ®, qui génère un apport de calcium assimilable, est appliqué quant à lui à 1 t/ha à l’entrée de l’automne. Éric trouve dans cette dernière solution une aide pour permettre une meilleure floculation des argiles.
Suite à une interprétation d’analyse de sol, il a intégré ACTIV TONIC® depuis 2020 sur ses programmes d’amendement par son apport d’humus stable. Ce dernier génère un gros impact sur l’enracinement et la structure de sol.
Le noyau RHIZEOS®, détenteur d’une AMM, permet une meilleure valorisation nutritive, comme en témoigne la dégradation bien plus rapide des résidus remarquée par Éric.
Le stimulateur de croissance liquide TONI FLORE® est, pour Éric, le garant d’une meilleure activité photosynthétique. Le légume gagne en fermeté et en qualité avec une incidence positive sur la conservation et la tenue.
La gamme BIO3G permet dans son ensemble, selon le maraîcher, d’aider les cultures à mieux travailler sur la lutte sanitaire (oidium, mildiou) car ses plantes sont bien plus résistantes.
Pour conclure sur ces nombreuses années de collaboration, Éric se dit “content de ces solutions faciles d’utilisation… mais aussi des techniciens-commerciaux qui ne passent pas uniquement pour vendre… Le suivi est pour moi très important, et cet accompagnement est une chose très positive.”
